Legend « Sport »
Posté : mer. 12 août 2020 06:20
Salut tout le monde !
Je vais commencer par vous raconter la petite histoire à l’origine de ma découverte de Triumph.
Il y a quelques années (en 2008) arrête a un feu rouge avec ma moto (une kawa) je me suis retrouvé face à un motard qui attendait de l’autre côté du carrefour avec une moto dont je suis tombé instantanément amoureux.
L’ayant vu sortir d’une concession Triumph quelques mètre avant le carrefour j’ai décidé de m’y rendre pour demander au concessionnaire des informations sur la moto que je venais de voir.
Malheureusement, le vendeur m’explique qu’il ne pourra pas me vendre ce modèle car en plus d’avoir bientôt 10 ans, Il s’agit d’un mélange de plusieurs modèles. En bon vendeur il m’approche ensuite d’une Bonneville (à carbu) lui tapote la selle et me dit que le plus proche esthétiquement ça sera celle là. Après avoir écouté ronronner son moteur je suis directement parti revendre ma kawa et suis revenu signer les papiers pour la Bonneville.
2 ans plus tard, je tombe par hasard sur une annonce pour la vente d’une Triumph ressemblant en tout point à celle que j’avais croisée au feu rouge. Je contact le propriétaire, c’est bien celle là !
La Bonnie vendue en urgence et la nouvelle moto achetée, me voici enfin propriétaire d’une Legend TT blanche, maquillée en Thunderbird Sport avec une préparation Mecatwin.
2 ans plus tard, en évitant un automobiliste distrait, je la crash dans une voiture à l’arrêt et, vivant dans une certaine précarité, suis incapable d’assumer les frais de réparation.
J’ai donc passé les 8 années suivantes à récolter petit à petits les pièces nécessaires à la réparation (tout l’avant de la moto était à refaire) et cette année, alors que nous étions tous en plein confinement, je me suis décidé à enfin terminer les réparations.
Je viens de terminer un petits voyage avec ma brêle qui tourne comme au premier jour avec juste quelques bosses ça et là qui me rappellent que si je fais à nouveau une erreur je risquerais à nouveau de me retrouver piéton pour une décennie.
Pour ce qui est de la personne, j’ai 36 ans, je vie à Bruxelles, je travaille comme photographe et je me suis lancé dans des études de maroquinerie aux Arts et Métiers avec en perspective l’apprentissage de la sellerie et de la bourrellerie.
Je vais commencer par vous raconter la petite histoire à l’origine de ma découverte de Triumph.
Il y a quelques années (en 2008) arrête a un feu rouge avec ma moto (une kawa) je me suis retrouvé face à un motard qui attendait de l’autre côté du carrefour avec une moto dont je suis tombé instantanément amoureux.
L’ayant vu sortir d’une concession Triumph quelques mètre avant le carrefour j’ai décidé de m’y rendre pour demander au concessionnaire des informations sur la moto que je venais de voir.
Malheureusement, le vendeur m’explique qu’il ne pourra pas me vendre ce modèle car en plus d’avoir bientôt 10 ans, Il s’agit d’un mélange de plusieurs modèles. En bon vendeur il m’approche ensuite d’une Bonneville (à carbu) lui tapote la selle et me dit que le plus proche esthétiquement ça sera celle là. Après avoir écouté ronronner son moteur je suis directement parti revendre ma kawa et suis revenu signer les papiers pour la Bonneville.
2 ans plus tard, je tombe par hasard sur une annonce pour la vente d’une Triumph ressemblant en tout point à celle que j’avais croisée au feu rouge. Je contact le propriétaire, c’est bien celle là !
La Bonnie vendue en urgence et la nouvelle moto achetée, me voici enfin propriétaire d’une Legend TT blanche, maquillée en Thunderbird Sport avec une préparation Mecatwin.
2 ans plus tard, en évitant un automobiliste distrait, je la crash dans une voiture à l’arrêt et, vivant dans une certaine précarité, suis incapable d’assumer les frais de réparation.
J’ai donc passé les 8 années suivantes à récolter petit à petits les pièces nécessaires à la réparation (tout l’avant de la moto était à refaire) et cette année, alors que nous étions tous en plein confinement, je me suis décidé à enfin terminer les réparations.
Je viens de terminer un petits voyage avec ma brêle qui tourne comme au premier jour avec juste quelques bosses ça et là qui me rappellent que si je fais à nouveau une erreur je risquerais à nouveau de me retrouver piéton pour une décennie.
Pour ce qui est de la personne, j’ai 36 ans, je vie à Bruxelles, je travaille comme photographe et je me suis lancé dans des études de maroquinerie aux Arts et Métiers avec en perspective l’apprentissage de la sellerie et de la bourrellerie.